Habitation basse-énergie.


Le standard basse énergie vise une diminution des consommations en énergie de chauffage en veillant à assurer un niveau d’isolation assez élevé. Contrairement à une maison passive, on ne peut pas se passer d’un système « traditionnel de chauffage » et l’utilisation d’une ventilation mécanique double flux intégrant un échangeur de chaleur dépendra de la volonté de diminuer les besoins nets en énergie de chauffage et/ou du souhait d’obtenir une qualité de l’air différente.

La définition des critères du standard basse énergie est assez ambigüe. Certains parlent de 60kWh/(m².an), d’autre 30kWh/(m².an) ou encore 45kWh/(m².an).

Le standard basse énergie définit en Région de Bruxelles-Capitale est le suivant : la demande énergétique totale pour le chauffage et le refroidissement des pièces doit rester limitée à 60kWh/(m².an) de surface de référence énergétique.

A noter qu’il existe également un standard "très basse énergie" en Région de Bruxelles-Capitale définit comme suit : la demande énergétique totale pour le chauffage et le refroidissement des pièces doit rester limitée à 30kWh/(m².an) de surface de référence énergétique.

En Région Wallonne et, de manière générale, pour la fiscalité de l’ensemble de la Belgique il existait jusqu’au 31 décembre 2011 un critère "basse énergie" fédéral. Suite à la suppression des réductions fiscales, ce critère n’est plus d’application. 

Entretemps, la terminologie s'est amplifiée en distinguant la maison passive, l'habitation zéro-énergie, l'habitation bioclimatique, l'habitation bioécologique.
Pour plus d'info, voir la Plate-forme Maison Passive .

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